Close

Login

Close

Register

Close

Lost Password

[vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Tequila Works

Genre : Plate-Forme, Aventure

Joueur: 1

Accessibilité [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 25/10/2012

Français: oui

Prix à la sortie : 12 euros (PC)

DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

 

Sorti en Août 2012 sur le XBLA, ce titre développé par Tequila Works, débarquera aussi sur Steam un mois plus tard. S’il est des « petits jeux » qui n’ont rien à envier aux grands, DEADLIGHT en fait assurément partie. Faisant le choix d’un avancement à l’ancienne basé sur un side-scrolling horizontal en 2D, et d’un univers déjà vu, DEADLIGHT a tout de même quelques arguments pour nous faire passer un bon moment, lesquels ? ben ceux-là !

 

ENCORE DES ZOMBIES !

L’histoire se passe à la fin du 20ème siècle. On y incarne un certain Randall Wayne, un (bucheron ?) canadien qui n’aime ni les villes, ni les gens. Séparé de sa fille et de sa femme lors de l’attaque des Ombres (=les zombies du jeu), il n’a qu’une idée en tête : les retrouver…bref un scénario digne des films du genre. Son périple sera bien entendu bourré d’obstacles et parsemé de rencontres avec des PNJs. Même si DEADLIGHT nous rappelle certains films (Walking dead, 28 jours plus tard) il ne tombe pas non plus dans la parodie, et au contraire arrive à se démarquer par sa réalisation.

 

NOIR C’EST NOIR

En effet, DEADLIGHT pourrait rappeler LIMBO, par une patte artistique préférant un monde sombre et grisâtre. D’ailleurs le noir est une couleur très importante dans le jeu, c’est la couleur de représentation du héros (ombre chinoise) et aussi de certains éléments du décor avec lequel on peut interagir. Bref, c’est pas la joie…L’atmosphère est pesante et l’immersion totale. L’ambiance graphique générale est de bonne facture, les animations sont fluides et assez réalistes. Tout ceci est accompagné par une bande son et des effets sonores de très bonnes qualités. Par ailleurs certaines cut-scenes en mode planches de BD feront offices de cinématiques. Plutôt bien réalisées, elles participent pleinement à l’immersion du titre.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=OrB5gf9y2so » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

DIE AND … RETRY

Le gameplay est peut être le point le plus surprenant. En effet, on se dit « tiens un jeu de zombie pas cher, je vais pouvoir me défouler tranquille ! » et bien pas du tout mon petit. DEADLIGHT est en fait un mélange de plateforme, d’énigme (gentillette) et d’avancement par l’échec. Pas d’action, pas de gestion de survie et pas de choix narratif. Pour le coté plateforme, il faudra le plus souvent monter, descendre et courir en évitant les pièges mortels mis sur la route (zombies ou autres). On notera que la gestion des sauts n’est pas toujours facile à maîtriser ce qui pourra nous entraîner dans l’Au-delà plus d’une fois. De plus, certains passages feront appel à votre habileté et à votre patience car il faudra non seulement maîtriser les sauts mais aussi les terribles roulés boulés et ceci dans un timing quasi parfait pour passer à l’étape suivante. C’est un peu le problème du jeu, car DEADLIGHT propose des challenges liés à la maîtrise du gameplay mais avec une maniabilité faisant parfois défaut.

Pour ce qui est du côté action, il est très restreint puisque l’on cherchera à éviter les Ombres plus qu’à les combattre. Nous aurons à notre disposition quelques armes (hache de pompier, pistolet, fusil pompe et le redoutable lance pierre). Les munitions ne sont pas limitées mais suffisent amplement. Chaque action physique que l’on entreprendra fera baisser notre jauge d’endurance. Pas question donc de marteler un bouton pour casser du zombie, on se fatigue assez vite. A noter que le déroulement de l’aventure est très linéaire, et qu’il n’y pas d’interaction possible avec les personnages rencontrés. Pour ce qui est de la durée de vie, elle tiendra en 4 ou 5 heures pour le finir une première fois. On peut en rajouter 1h si l’on compte débloquer tous les bonus (notamment les pages du journal de Randall que l’on trouve par ci par là et qui nous en apprend un peu plus sur les sentiments de notre héros barbu). Un mode cauchemar est disponible une fois le jeu terminé, il s’agit d’un mode sans sauvegarde, réservé aux hardcore gamers.

 

*******

 

FINALEMENT PAS MAL

DEADLIGHT est un bon petit jeu, immersif et original dans son approche il nous donne envie d’aller au bout. Par contre, son histoire peu fouillée et son coté plate-forme un peu répétitif et pas toujours maîtrisé ne me donne pas forcément envie d’y revenir. Je le conseille tout de même fortement en mode promo.

 

[Test réalisé à partir de la version PC]

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]