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      « Et si on faisait un jeu basé sur la photographie et les animaux en Afrique ? » Une idée simple et originale qui est à l’origine de ce Afrika (ou Hakuna Matata en Asie). Développé par Rhino Studios en coopération avec National Geographic, ce titre nous propose de vadrouiller dans des contrées africaines afin d’observer la faune et la flore qu’elles abritent. Bien que l’on puisse émettre des réserves quant à l’intérêt d’un tel titre, Afrika est loin d’être mauvais et mérite que l’on y consacre un peu de son temps.

       

      POUR RUGIR DE PLAISIR

      On incarne un personnage (fille ou garçon) que l’on peut nommer et dont la mission est de découvrir et d’observer les animaux dans la zone de conservation Manyanga, site encore non touché par civilisation moderne. Pour cela on dispose d’un campement dans lequel on retrouve tout ce dont on a besoin : une carte de la région, un ordinateur portable, un coffre pour stocker le matériel photographique et divers accessoires et bien entendu un lit. Le déroulement du jeu est simple : sur notre ordinateur on recevra des e-mails provenant de National Geographic directement ou d’autres, nous demandant de prendre des photos pour ensuite servir de couverture de magazine, pour rendre service ou tout simplement parce qu’on nous le demande. Selon la qualité de la photo prise l’employeur nous paiera plus ou moins bien, argent qui nous servira à améliorer notre matériel et à acheter d’autres accessoires.

       

      SAGA AFRIKA

      Pour nous aider dans nos missions on sera épauler par Anna, une collègue scientifique (qui est le perso jouable si l’on choisi d’incarner une femme) qui connait bien la région et de James qui sera notre guide, et d’une jeep. Au départ on se sent un peu frustré car on ne conduit pas la jeep en question, on ne trouve pas les animaux que l’on recherche…mais petit à petit, une fois que l’on a accompli quelques tâches, on prend du galon, James nous laisse conduire et les contrées se remplissent de vie. De plus, certains animaux ne se trouveront qu’à certains moments de la journée, ou d’autres encore apparaîtront qu’après avoir réussi certaines missions, bref il y a de quoi faire…

      L’exploration se fera donc de deux manières, soit à bord de la jeep, dont la maniabilité est un peu lourde et qui s’arrête au moindre buisson rencontré ; soit à pied, où le déplacement du perso semble un peu rigide…dans les deux cas le petit défaut de maniabilité et vite oublié et on s’en accommode très bien. Pour avancer dans le jeu, il faut donc réussir à prendre en photo les animaux. Cependant, pour mériter les évaluations les plus élevées (qui nous feront gagner le plus d’argent), il va falloir faire preuve de patience et de sang froid. En effet, la prise de photo n’est pas aussi facile qu’il n’y parait. Outre les problèmes de qualité de notre matériel face à l’éclairage, aux mouvements et à la distance….vient s’ajouter la difficulté d’approcher la bête. En effet certains sont très vigilants et le moindre bruit les fera fuir, mais certains n’hésiteront pas a attaquer s’ils se sentent menacés !! Bref on s’y croirait. D’ailleurs il faut préciser que la « mort » dans le jeu se traduit par  un retour dans le lit de son campement avec pour conséquence la perte de toutes les photos que l’on n’a pas eu le temps de transférer à l’ordinateur.

      La qualité de la photo est jugée selon quatre critères: l’angle, la prise de vue, la distance, et la technique. On est noté selon chacun de ses critères, ce qui détermine la note finale (et donc la quantité d’argent gagnée). Attention toutefois certaines missions sont assez compliquées et l’on devra recommencer afin d’avoir une évaluation satisfaisante. Comme annoncé plus haut cet argent permettra d’acheter des appareils photos plus perfectionnés (toute la gamme Alpha de Sony est présente), des objectifs de meilleurs qualités, et aussi divers produits comme une tente pour dormir à l’endroit désiré et ainsi éviter de refaire le trajet jusqu’au campement, un carnet photo plus grand etc… D’ailleurs précisons que la fin de journée est juste magnifique avec un soleil se couchant sur la savane et ça nous vraiment envie de découvrir l’Afrique. Sinon on peut tout simplement mettre fin à la journée en retournant au campement et en faisant un ptit somm’

       

      kong music
      ON EMPILE LES CLICHES

      Dans Afrika, les missions se suivent mais ne se ressemblent pas. En effet, on peut très bien recevoir un mail nous demandant de photographier tous les animaux d’un secteur sans objectifs précis de manière à juste nous faire découvrir notre environnement, ou alors au contraire de prendre un cliché d’un animal en particulier. On devra par exemple trouver un alligator sortant de l’eau, des oiseaux posés sur le dos d’un buffle, une femelle phacochère avec ses petits ou encore une lionne surveillant ses petits… Pour varier un peu plus notre activité, on nous enverra de temps à autre des accessoires comme un trépied, un magnétophone, une petite voiture téléguidée munie d’une caméra pour approcher plus sereinement certains animaux , de manière à soit répondre à une mission très spécifique, soit tout simplement pour nous permettre de découvrir cette région d’un autre œil.

      De plus, dans le jeu apparaît quelques fois des  «Big Game Event». Il s’agit de moments de vie à prendre sur le vif comme l’attaque d’un troupeau par un félin, un combat de girafes à coup de cou, la traversée d’une rivière par des dizaines de gnous, etc … Des prises à ne surtout pas rater et des moments de vie sauvage que l’on peut voir comme si on y était. Ces moments que l’on pourra d’ailleurs revoir via une option du menu du jeu. Par ailleurs, chaque animal que l’on photographie est ensuite référencé dans un guide dans lequel on pourra trouver une vue en 3D, une vidéo enregistrée et tout un tas d’information sur l’animal en question. On pourra trouver d’autres informations sur chacun des animaux dans la vidéothèque que met à notre disposition National Geographic.

       

      JE REPRENDRAI BIEN UN PEU DE SAVANE

      L’Afrique est un pays magnifique et Afrika cherche à nous le montrer. Observer et traverser des zones regroupant le mont Kilimanjaro, l’oasis Awali, les étangs de Mazimoja et le mont Hakunamatata est un pur moment d’évasion. De plus,  les animaux sont très bien faits, les effets sonores de grande qualité, on est pleinement immergé dans cette ambiance. La bande son est elle aussi très agréable, bien qu’un peu redondant. On apprend tout en s’amusant, on voyage en jouant bref…merci pour ce jeu et ce travail fantastique !!!

       

      Rédacteur en chef CritiKong - Fan de gorilles et de JV qui attend désespérément Shadow Hearts 4...

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        • L’ambiance générale
        • L’OST
        • Un mini univers pour chaque personnage
        • Le level design
        • L’écriture qui tient en haleine
        • Certaines mises en scène
        • La durée de vie (2h)
        • La fin (selon les goûts)

         

         

        Développé par le studio Forgotten Key, AER Memories of Old est une histoire visuelle mêlant contemplation et quelques phases de réflexion. Après une longue JOURNEY dans le sable et une plongée dans une eau ABZÛlument bleue, quoi de plus logique qu’un détour par les AER ?

         

        HAWK

        Edith, jeune fille de 17 ans, revient sur le lieu de son enfance. Elle a grandi avec toute sa famille dans une immense maison à l’allure un peu improbable : l’extérieur semble hostile, mais l’intérieur rappelle les bonne vieilles maisons familiales où règne un véritable bordel. De nombreuses personnes y ont vécu, dont de nombreux enfants, elle comporte donc beaucoup de pièces et surtout beaucoup de souvenirs. Edith revient en ce lieu pour tenter de mieux comprendre ce qu’il s’est passé dans cette famille… Quelle malédiction en a frappé les membres ? Pourquoi cette maison est aujourd’hui abandonnée ? Pourquoi Edith est-elle la seule encore en vie ? …

         

        FAIS COMME L'OISEAU

        Le gameplay est plutôt simple : se métamorphoser en aigle, explorer chacune des îles flottantes composant ce monde, trouver des temples, y réussir l’épreuve… et recommencer ! Intuitif et bien pensé, le passage de créature volante à terrestre est sans conteste le point fort du jeu. Un simple saut et pouf on vole, à peine on touche terre et pouf on peut marcher, cela devrait vous encourager à explorer ! Pour le reste, vous aurez principalement à interagir par pression d’un bouton. Pour chaque temple, 2 énigmes à résoudre : une pour ouvrir le temple, l’autre pour ouvrir la porte du Gardien dans le temple. La seule difficulté consistera à trouver le bon endroit du temple, le reste ne sera que formalité. On ne vous tiendra pas par la main pour trouver les temples et vous ne disposez que d’une carte se dessinant au fur et à mesure de vos découvertes. Néanmoins, rien d’insurmontable rassurez-vous car la map n’est pas trop grande.

        Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo.

        Vous parcourrez ainsi 3 grands temples, puis un 4ème pour finir et voilà ! Au total, une durée de vie de 2h30 en ligne droite, et pas loin du double si vous prenez le temps d’explorer toutes les îles et recoins. En effet, ce n’est pas la trame principale qui vous tiendra en haleine, mais bien la découverte du monde. Son histoire ne se dévoilera d’ailleurs à vous, que si vous prenez le temps de vous poser et d’explorer. Des résidus d’esprit d’anciens habitants vous montreront des scènes qui, mises bout à bout, vous donneront des indices sur le rôle de chaque région, ainsi que sur le cataclysme qui à frappé ce monde.

         

        I BELIEVE I CAN FLY

        Graphiquement, le jeu va alterner entre le « pas mal » et le « pas très ouf ». À l’extérieur, le monde semble plus beau, plus cohérent, les différentes régions d’intérêt sont très différentes les unes des autres, ce qui renforce un peu l’effet de voyage. En intérieur par contre, c’est le strict minimum et c’est dommage de ne pas trouver une ambiance aussi prenante qu’en dehors. Globalement, avec l’utilisation du low-poly on ne s’attend pas à en prendre plein les yeux mais là, on a clairement le temps d’observer les détails tellement certaines zones paraissent vides…

        Côté son, l’OST est de bonne qualité, j’ai trouvé que le thème pour chaque zone était en adéquation et cela m’a vraiment bien immergé lorsque je volais. Par contre, les effets sonores lors d’un saut et de sa réception ou lors d’une course sont juste agaçants.

         

        COMME UN AIR DE DÉJÀ VU

        AER Memories of Old est bon jeu pourvu que l’on adhère à son univers. J’ai préféré Journey et Abzû, beaucoup moins redondants qu’AER selon moi. De plus, le scénario et son dénouement sont à la fois peu originaux (toujours en comparaison des 2 précédents opus) et la fin me semble être un peu bâclée, comme si le finish avait était envoyé juste histoire d’en finir. Je le conseillerais en occaz pour son ambiance et la véritable sensation de liberté en vol. Néanmoins soyez prévenus, n’attendez pas après d’éventuels rebondissements dans le jeu car il n’y en aura pas et vous vous lasserez si vous ne faites pas l’effort de passer outre pour profiter du jeu. Il n’y a pas de vie – ce qui est normal vu le scénario – et donc rien n’est dynamique naturellement, il faut l’accepter. Aussi, malgré les efforts des devs pour tenter de remplir le monde de petites choses histoire de tromper votre ennui, votre ressenti ne tiendra qu’à vous !

         

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        • Visuellement réussi
        • Direction artistique qui fait fait mouche
        • Une OST de qualité
        • Un système de combat addictif et stratégique
        • Bonne durée de vie (+60h)
        • Pour compléter
        • Obligé de compléter
        • Scénarii pas vraiment intéressants
        • Pas de recoupement scénaristique entre les persos
        • Level design des donjons très basique
        • Un jeu de farm à l’ancienne avec des paliers
        • Journal des quêtes mal foutu
        • Pour compléter encore
        • Tout à fait Thierry


        Développé par le studio Forgotten Key, AER Memories of Old est une histoire visuelle mêlant contemplation et quelques phases de réflexion. Après une longue JOURNEY dans le sable et une plongée dans une eau ABZÛlument bleue, quoi de plus logique qu’un détour par les AER ?

         

        HAWK

        La jeune apprentie, Auk, vient de finir son épreuve. Fatiguée mais heureuse, elle a acquis le pouvoir de se métamorphoser en aigle et d’ainsi s’envoler dans les cieux. Joie de courte durée puisqu’on lui annonce rapidement qu’elle est l’élue, la clé pour sauver un monde dont elle ne semble pas se rappeler grand-chose. Sa mission : explorer le monde tel un petit oiseau et le sauver en délivrant les Gardiens pour battre le Néant. Voilà donc le contexte de votre aventure, convenu et vite envoyé, mais heureusement vous pourrez en apprendre un peu plus sur ce monde ravagé par votre exploration.

         

        FAIS COMME L'OISEAU

        Le gameplay est plutôt simple : se métamorphoser en aigle, explorer chacune des îles flottantes composant ce monde, trouver des temples, y réussir l’épreuve… et recommencer ! Intuitif et bien pensé, le passage de créature volante à terrestre est sans conteste le point fort du jeu. Un simple saut et pouf on vole, à peine on touche terre et pouf on peut marcher, cela devrait vous encourager à explorer ! Pour le reste, vous aurez principalement à interagir par pression d’un bouton. Pour chaque temple, 2 énigmes à résoudre : une pour ouvrir le temple, l’autre pour ouvrir la porte du Gardien dans le temple. La seule difficulté consistera à trouver le bon endroit du temple, le reste ne sera que formalité. On ne vous tiendra pas par la main pour trouver les temples et vous ne disposez que d’une carte se dessinant au fur et à mesure de vos découvertes. Néanmoins, rien d’insurmontable rassurez-vous car la map n’est pas trop grande.

        Vous parcourrez ainsi 3 grands temples, puis un 4ème pour finir et voilà ! Au total, une durée de vie de 2h30 en ligne droite, et pas loin du double si vous prenez le temps d’explorer toutes les îles et recoins. En effet, ce n’est pas la trame principale qui vous tiendra en haleine, mais bien la découverte du monde. Son histoire ne se dévoilera d’ailleurs à vous, que si vous prenez le temps de vous poser et d’explorer. Des résidus d’esprit d’anciens habitants vous montreront des scènes qui, mises bout à bout, vous donneront des indices sur le rôle de chaque région, ainsi que sur le cataclysme qui à frappé ce monde.

         

        I BELIEVE I CAN FLY

        Graphiquement, le jeu va alterner entre le « pas mal » et le « pas très ouf ». À l’extérieur, le monde semble plus beau, plus cohérent, les différentes régions d’intérêt sont très différentes les unes des autres, ce qui renforce un peu l’effet de voyage. En intérieur par contre, c’est le strict minimum et c’est dommage de ne pas trouver une ambiance aussi prenante qu’en dehors. Globalement, avec l’utilisation du low-poly on ne s’attend pas à en prendre plein les yeux mais là, on a clairement le temps d’observer les détails tellement certaines zones paraissent vides…

        Côté son, l’OST est de bonne qualité, j’ai trouvé que le thème pour chaque zone était en adéquation et cela m’a vraiment bien immergé lorsque je volais. Par contre, les effets sonores lors d’un saut et de sa réception ou lors d’une course sont juste agaçants.

         

        COMME UN AIR DE DÉJÀ VU

        AER Memories of Old est bon jeu pourvu que l’on adhère à son univers. J’ai préféré Journey et Abzû, beaucoup moins redondants qu’AER selon moi. De plus, le scénario et son dénouement sont à la fois peu originaux (toujours en comparaison des 2 précédents opus) et la fin me semble être un peu bâclée, comme si le finish avait était envoyé juste histoire d’en finir. Je le conseillerais en occaz pour son ambiance et la véritable sensation de liberté en vol. Néanmoins soyez prévenus, n’attendez pas après d’éventuels rebondissements dans le jeu car il n’y en aura pas et vous vous lasserez si vous ne faites pas l’effort de passer outre pour profiter du jeu. Il n’y a pas de vie – ce qui est normal vu le scénario – et donc rien n’est dynamique naturellement, il faut l’accepter. Aussi, malgré les efforts des devs pour tenter de remplir le monde de petites choses histoire de tromper votre ennui, votre ressenti ne tiendra qu’à vous !

        Français: oui en sous titré

        Prix à la sortie: 14.99 euros (PC)

        DLC: non

        Pour aller plus loin:

        Rédacteur en chef CritiKong - Fan de gorilles et de JV qui attend désespérément Shadow Hearts 4...

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        1 réaction

        1. opuioi

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        Ton email ne sera pas publié. Champs requis *

        Merci !

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Psyonix

        Genre : Sport

        Joueur: 1 – 4 / Multi

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 07/07/2015

        Français: oui

        Prix à la sortie: 20 euros (PC)

        DLC: oui[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Développé par Psyonix, Rocket League est la suite de Supersonic Acrobatic Rocket-Powered Battle-Cars et reprend le même concept, celui du foot-car. Original s’il en est, le titre vous propose de faire un match de foot en bagnole tout en vous la mettant sévère. Que peut-on attendre d’un tel jeu ? La réponse c’est now !

        ILS SONT FOUS CES BOLIDES

        Parlons de suite des graphismes : c’est sympa mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. Les arènes sont assez jolies mais certaines font un peu vides. Les voitures et effets d’explosion se laissent regarder sans pour autant être waouh. En jeu les effets sonores sont sympas, mais l’on pourra regretter que toutes les arènes ne bénéficient pas d’une ambiance digne d’une finale de catch, l’immersion n’en aurait été que plus intense. Enfin, l’interface du jeu est simple et soignée, rien à dire de ce côté-là.

         

        AERIAL SINON RIEN

        Le gameplay est simple : on contrôle un bolide dans une arène fermée et on doit pousser un ballon dans le but adverse. Dit comme ça, rien de compliqué, mais pourtant sous son air simplissime se cache une profondeur où seuls les plus skillés pourront briller. Vous pouvez secouer votre bolide dans toutes les directions, le jeter en avant ou en arrière, lui faire faire un bond vertigineux ou planer dans les airs, jouer avec les murs et les rebonds. En plus le sol de l’arène est parsemé de boules jaunes qui rempliront votre jauge de turbo, pratique pour aller plus vite, sauter plus haut, donner de la force à vos frappes, mais aussi pour démolir vos adversaires. En effet, après avoir franchi une certaine vitesse, vous pouvez détruire votre ennemi ! Bien qu’au départ ce soit juste fun et marrant, cela peut servir à défoncer un gardien ou à empêcher un adversaire de marquer. Le moteur physique du jeu est plutôt bon et permet d’avoir de réelles sensations de contrôle, de vitesse ou de toucher avec sa voiture. La physique de balle est quant à elle bien gérée, mais la majorité du temps le ballon se trouve en l’air. Il vous faudra donc manier les aerials (frappe en l’air) pour dominer le terrain. On peut d’ailleurs se demander pourquoi la balle ou la voiture mettent d’ailleurs autant de temps à redescendre… Gravité mal gérée ou réfléchie pour éviter que les aerials soient distillés trop facilement ? À vous d’en juger. Quoiqu’il en soit, les parties sont prenantes, haletantes et fun, et c’est bien là le plus important.

        En outre, il vous est possible de customiser votre bolide grâce à des pièces glanées au fil des matchs (perdre ou gagner n’a pas d’importance). Vous pouvez changer le type de voiture (ce qui n’a pas d’impact), la peinture, les roues, les fanions, etc. les équipements ne sont toujours très beaux, m’enfin ça permet de personnaliser un peu ! Des DLCs esthétiques sont également présents si vous le souhaitez.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=r4iT0yZEwk8″ el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        BALLON ! PASSE !

        Alors c’est bien joli tout ça mais qu’est-ce qu’on à faire dans ce jeu ? Et bien pas forcément grand-chose, le contenu n’est pas foufou mais les devs implémentent quelques features de temps à autres. Le moins intéressant est certainement le mode saison qui vous permet de jouer un championnat seul, avec et contre l’IA. Pas terrible vu que l’IA n’est pas incroyable et que vous ne vivrez jamais l’intensité du vrai Rocket League dans ce mode. Il est tout au plus un bon complément ou mode entraînement qu’il vous faudra faire avant de vous lancer en partie classée. Ce mode entraînement est vraiment bien foutu et vous apprendra les bases du jeu en douceur et en progression (gardien, shoot, shoot en l’air, turbo etc.). Une fois que vous aurez pris un peu confiance en vous, le multijoueurs sera là, d’abord en partie non-classée en 1vs1, 2vs2, 3vs3, 4vs4, puis en classée : 1vs1, 2vs2 ou 3vs3. Par ailleurs, suite à une MaJ le grand mutator, sorte d’éditeur, vous permettra de pas mal paramétrer vos parties (gravité de la balle, vitesse de jeu, jauge de turbo, durée du match…) afin de varier les plaisirs. Cependant, cela est réservé aux parties non-classées, et qui dit pas de points, dit rage quit à outrance, mais des joueurs peuvent rejoindre une partie déjà commencée pour compenser.

        Enfin, le cross play entre joueurs PC et consoles est possible mais seulement pour joueur les uns contre les autres. Pas de groupement possible et cette option est désactivable dans les options. Au niveau des serveurs les temps d’attente sont assez court, ce qui permet d’enchaîner les parties. Par contre les adversaires ne sont pas toujours de notre niveau ce qui pose quelques questions sur le moteur de recherche. De plus, il est possible de jouer jusqu’à 4 en écran splitté et d’aller défier le reste du monde, un mode délaissé mais qui est présent ici et que l’on salue.

        https://www.youtube.com/watch?v=dTA6sNJF_R0

        DIEU QUE C’EST BON!

        Un jeu que l’on a acheté entre potes juste comme ça et qui, au final, s’est révélé être le moment fun de nos soirées. Cris, joie, rigolades et chambre à deux balles, voilà ce que procure ce Rocket League, du fun du fun et encore du fun grâce à un gameplay simple mais profond. Jetez-vous sur ce titre et rendez-vous dans l’arène bande de plots !

         

        [Test réalisé à partir de la version PC]

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Gumi

        Genre : RPG, Gacha

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 24/06/2014

        Français: oui

        Prix: gratuit / eshop

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Développé par le studio japonais GUMI, Brave Frontier RPG (BFR) est un jeu smartphone, axé sur les combats et le gain d’EXP, ce jeu bien que basique en apparence, saura vous garder auprès de lui de nombreuses heures grâce à une mécanique très efficace et des ajouts bien pensés, il arrive sans soucis à se démarquer des jeux du même genre.

        MIGNON ET COLORE

        Graphiquement, BFR opte pour un style rappelant les RPG de l’époque 16 bit. Old school certes, mais toujours aussi accrocheur, ajoutez-y un character design rappelant nos bons vieux héros de l’époque (dragon, guerrier, mage…) et hop la nostalgie faisant son œuvre on trouve ça tout de suite pas si mal. Avec un peu d’objectivité, on se retrouve toutefois devant un titre mignon mais pas transcendant. L’univers est quant à lui très coloré, les effets des sorts et les animations sont fluides et sympas. Au niveau de la musique, c’est un peu la surprise. En effet, certains thèmes sont magnifiques et se laissent écouter avec plaisir. D’ailleurs quelques morceaux ont certainement été inspirés par des mélodie des grands RPGs de l’époque. Pour ce qui est des bruitages et effets sonores, classiques et efficaces pas grand-chose à dire. A noter que les musiques sont déblocables dans le jeu, petit ajout sympa.

         

        CLICK VITE

        Le jeu vous met dans la peau d’un invocateur dont la mission est de traquer un Dieu déchu, Maxwell. Vous traverserez de nombreuses zones peuplées de monstres et il vous faudra user de vos pouvoir pour pouvoir les traverser ; plus de 200 monstres et héros sont à votre disposition, de l’inoffensif mousseux jusqu’au dévastateur Bahamut, en passant par l’inimitable Mimik (le fameux faux coffre au trésor !), tous seront là pour vous aider dans votre quête contre le mal !!! Alors Maxwell t’as quelque chose à rajouter ?? De la même façon que dans un Pokémon, les monstres de cet univers sont de divers types (feu, eau, tonnerre, terre, lumière et ténèbres). Plusieurs spécialités : magie, combats rapproché, soigneur, boosteur d’attribut, bon à rien. Au fur et à mesure de votre avancée dans le jeu vous gagnerez des unités aléatoirement, cependant pour recruter les invocations les plus rares il vous faudra passer par la case « je dépense des gemmes » que vous gagnez dans le jeu ou grâce à votre portefeuille. Mais n’ayez pas peur BFR n’est absolument pas un pay to win, et de temps à autres les dev donnent 1 gemme par jour pendant 1 semaine, de quoi tenter d’acquérir une unité mégarare gratuitement ! Une fois votre groupe de 5 unités formé, il est temps d’aller taper du vilain

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=qQhe1A65xkg » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Les combats se déroulent au tour par tour, pour mourir il faut que toute votre équipe soit vaincue. Chaque unité dispose d’un coup spécial appelé « Brave Burst », plus le rang de votre unité sera rare plus le Brave Burst sera intéressant. Il y a aussi une compétence de Leader qui vous octroie tel ou tel bonus selon la bestiole qui mènera vos troupes. Pendant les combats vous aurez également la possibilité d’utiliser des objets que vous aurez craftés au préalable dans votre village mais j’y reviendrai. Un petit ajout sympa : durant les combats, si chacune de vos unités tape en même temps sur le méchant cela infligera des dégâts supplémentaires et permettra de récupérer un peu plus de cristaux de vie, d’argent, ou des cristaux qui font remplir la jauge de BB plus vite. Du coup, cela vous oblige à connaître les temps d’actions de vos unités pour qu’ils s’enchaînent au mieux. Vous pourrez également faire appel au leader d’un de vos amis pour vous aider, petite touche sociale bienvenue. A côté des combats, vous devrez gérer vos troupes et vos ressources. Pour vos unités vous pourrez les fusionner de manière à ce qu’elles montent en niveau, puis arrivés à un certains lvl vous pourrez les faire évoluer si vous disposez des composants nécessaires. Vous pouvez également vendre les unités inutiles car bien entendu vous êtes limités en nombre (que vous pouvez étendre grâce à des gemmes). Pour ce qui est de votre inventaire, vous disposez d’un petit village qui par l’intermédiaire d’un petit tapotement de doigt sur l’écran vous donnera quelques ressources nécessaires à la fabrication d’objets (potion, antidote, résurrection…). Dans votre village vous pouvez également fabriquer des sphères, ce sont des équipements pour vos unités et cela augmentera certains de leurs attributs une fois équipé. Les composants nécessaires pour la construction des sphères se loot lors des combats.

         

        GUMI GUMI NO

        En plus des missions scénaristiques vous pourrez également affronter d’autres joueurs dans un PvP basique et hasardeux. En effet, vous choisirez 5 unités et une fois le bouton « fight » appuyé, l’IA se chargera de simuler le combat pour vous…c’est certes rapide mais du coup vous n’avez pas la main mise sur qui attaque qui, ni sur le déclenchement des Brave Burst..ce qui est parfois un peu frustrant. Par ailleurs, vous avez aussi les donjons quotidiens réunis dans le Vortex. Ils vous permettent de faire le plein d’or, de composant de craft, de matière pour fusion. Ces quêtes sont un bon coup de main mais coûtent cher en énergie. Quoi de l’énergie ? C’est quoi ça ? En fait chaque jour vous disposez de X énergie, chaque quête vous consommera plus au moins d’énergie selon sa récompense. Elle se recharge soit en faisant autre chose et qui n’a rien à voir, soit grâce aux gemmes (les filous !). Du coup on peut se retrouver vite bloqué dans sa journée. L’intérêt de ce système reste flou mis à part pour faire payer les impatients, car le jeu n’étant pas très communautaire… De temps à autre il y a également les Events à proprement parler qui vous demanderont de combattre des gros méchants pendant 10 jours environs. Un classement et des récompenses sont à la disposition des invocateurs téméraires.

        SYMPA POUR UN GATCHA

        Brave Frontier RPG est un incontournable si l’on est fan du RPG level-up à l’ancienne. Les graphismes 16 bit, l’effet tout mimi et les références aux RPGs célèbres font que l’on s’attache très vite à ce jeu. Je n’ai pas dépensé le moindre argent pour avancer et je confirme que BFR n’est pas un pay to win. Mais vu le nombre d’heures de plaisir que ce jeu procure il n’est pas non plus honteux de dépenser quelques deniers pour remercier GUMI de son très beau travail.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Greenheart Games

        Genre : Gestion, Simulation

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 28/04/2013

        Français: non

        Prix à la sortie: 10 euros (PC)

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Vous avez toujours rêvé d’avoir votre propre studio de développement de jeux vidéo ? Créer toute type de jeu en gérant une équipe et vos revenu ? Et bien Game Dev Tycoon est fait pour vous ! En effet, ce titre vous propose de devenir le patron d’une société de jeux vidéo depuis les années 80 jusqu’à nos jours.

        ALLEZ FAUT BOSSER !

        Vous commencerez votre carrière dans votre garage, seul avec votre ordinateur. Vos premiers pas dans le monde de la création sont assez basiques certes mais avec de bonnes idées tout est possible. Pour votre jeu vous pouvez en choisir le nom bien entendu, le sujet (sport, médiéval, espace..) le genre (RPG, aventure, combat…), votre moteur de création et enfin  le support (G64 ou PC au début). Ensuite il vous faudra répartir le temps que vous allez dédier à l’écriture du scénario, au graphisme, à la musique ou autre. Il est évident que si vous voulez un créer un RPG il faudra passer plus de temps sur l’écriture qu’ailleurs (ce que certains aujourd’hui ont oublié d’ailleurs…)

        Une fois votre jeu créé il est temps de le soumettre au public. Chacun de vos jeu seront évaluer par des critiques et la note donnée sera un bon indicateur du nombre de ventes. Les revenus ainsi gagnés vous permettront d’améliorer votre éditeur de création, de recruter du personnel, d’acheter les licences pour créer des jeux sur d’autres supports…

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=3wNIFpUQsR4″ el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Au fur et à mesure que l’on avance dans le temps, on débloque d’autres sujets de jeu, de nouveaux genre, on a accès à d’autres technologie si tant est que l’on prend la peine de faire un peu de recherche.  De plus, les supports changent également il faut donc bien choisir sur quelle machine on décide de sortir un jeu. Bref, on débloque pas mal de trucs qui viennent étoffer le gameplay.

        Néanmoins, le jeu souffre de mauvais équilibrage. En effet, le temps passe parfois trop vite sans que l’on est pu débloquer toutes les technologies liées aux machines du moment, ou bien sans savoir vraiment pourquoi certains jeu ne vont pas vendre du tout, d’autres vont vous propulser en tête des ventes pour vos permettre (scripte ?) de passer à l’échelon supérieur… Pas mal de défauts qui viennent ternir un bon ptit jeu au concept sympa.

         

        C’EST QUI LE PATRON ?

        Pour ce qui est du son, une seule musique à disposition, sympa au début vite chiante à la longue on finira par jouer sans. Les graphismes sont  mignons sans plus et l’on aurait aimé pouvoir customiser d’avantage son lieu de travail, même s’il est vrai que l’intérêt du soft n’est pas là.

        DOMMAGE !

        Game Dev Tycoon est un bon ptit jeu addictif au début mais qui par ses défauts d’équilibrage peut se montrer frustrant et répétitif. Bref un jeu à essayer quand même mais à pas trop cher.

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Galactic Café

        Genre : Narratif

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 17/10/2013

        Français: sous-titré FR

        Prix à la sortie: 12 euros (PC)

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Ancien mod de Half-Life 2 devenu un stand alone, The Stanley Parable (TSP) est un petit ovni vidéo-ludique qui vous plongera avec humour dans une histoire où le choix est roi…ou pas. En effet, ce jeu repose sur l’illusion de liberté laissée au joueur, et veut lui faire comprendre qu’il n’est pas si unique que ça dans ses prises de décisions et que tout était bien prévu et écrit à l’avance. Perturbant non ?

        HELLO STANLEY

        Vous incarnerez Stanley, un employé modèle dont la mission principale est d’appuyer sur les touches de son clavier selon des consignes qui apparaissent sur son moniteur. Oui mais voilà, un jour, plus aucune consigne n’apparaît…c’est le moment pour Stanley de se lever de sa chaise et de vivre son aventure !

         

        PRENEZ LA PORTE !

        Le gameplay de The Stanley Parable est très simple, à partir du moment où vous contrôlerez Stanley, une voix, celle du narrateur, vous guidera à travers les différents couloirs jusqu’à la sortie. Mais là où le jeu se démarque, c’est que le narrateur est omniscient et qu’il est capable de s’adapter à chacun des choix que vous allez faire. Au début de jeu, Stanley sort de son bureau, le narrateur raconte donc que « Stanley sort de son bureau », puis après avoir traversé quelques couloirs et bureaux, Stanley arrive dans une pièce où 2 chemins se proposent à lui. Le narrateur indique « C’est alors que Stanley prit la porte de gauche… » mais rien ne vous empêche de prendre celle de droite et d’écrire l’histoire comme vous le voulez ! Cette étape est le premier embranchement vers les fins alternatives que proposent le jeu. S’il ne faut que 10 minutes pour finir le jeu en ligne droite, il vous faudra entre 2 et 3 heures pour trouver toutes les fins possibles.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=fBtX0S2J32Y » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        De plus, un vrai jeu entre le narrateur et le joueur s’installe au fur et à mesure, que l’on suive ou non l’histoire prévue. En effet, certains choix pourront énerver le narrateur ou bien le rendre fou, et il prendra Stanley (le joueur) à parti sur un ton parfois exagéré, voire surréaliste. On se prendra alors au jeu et on recommencera une partie, pour voir ce qu’il se passe si on fait ou non telle ou telle chose, si ce chemin pris fais sortir de ses gonds le narrateur… et c‘est là où TSP est fort, c’est que chaque choix, chaque action que peut faire le joueur a été pensé en amont et donc prévu par le narrateur, le message est clair : chaque choix que le joueur pense prendre par lui-même est en fait une illusion et a été pensé par les devs, vous pensez que vous aviez la maîtrise sur le jeu… mais en fait c’est le contraire (HAHAahah rire maléfique)

         

        C’EST LE MOD

        Rapidement coté graphisme, le jeu n’est pas moche mais pas transcendant non plus. Le principal est que le jeu ne souffre pas de bugs, la progression est fluide et la caméra joue bien son rôle. Coté son, c’est un peu la même chose, car des musiques il n’y en a pas beaucoup dans le jeu mais elles restent malgré tout sympa. Bruitage et effet sonore sont de bonnes factures. Le point fort reste à mettre à la voix du narrateur, à la fois grave et avec un accent anglais à l’intonation qui permet une immersion avec la situation. Effet comique et jouissif.

        IM-PARABLE

        The Stanley Parable est une démonstration de maîtrise de level design et de narration. Je conseillerais de faire le jeu et de découvrir toutes les fins alternatives en une seule session pour mieux se rendre compte du travail réalisé. Les choix dans les jeux vidéos ne sont que des éventualités prévues par les développeurs, TSP nous le montre sur un ton décalé et bien pensé. Par ailleurs, choisir un employé modèle qui ne se pose jamais de question, leur permet également de nous faire réfléchir sur nos propres actes quotidiens. Sommes-nous tous des moutons qui inconsciemment n’attendent qu’une aide extérieure pour nous libérer ? (vous avez 3 heures ^^)

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Ludosity

        Genre : CCG, Aventure

        Joueur : 1

        Accessibilité [/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 14/02/2014

        Français : non

        Prix à la sortie : 4 euros (PC)

        DLC : non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Développé par Ludosity, studio indépendant peu connu, Card City Nights (CCN) est comme son nom l’indique un jeu de carte à collectionner dans un univers décalé et humoristique.  Reprenant des éléments de leur jeu précédent, Ittle Dew (zelda-like totalement barré), à savoir des dialogues moqueurs, un univers rempli de personnages loufoques, CCN, nous proposera de devenir le plus grand collectionneur de carte de la ville en récupérant les fameuses 8 cartes légendaires.

        BATAILLE !

        Le jeu se déroule dans une ambiance mi-manga, mi-dessin animé.  Les décors ne sont pas très détaillés mais le rendu reste assez agréable. La ville bien que petite reste charmante à découvrir. Le charachter design des PNJ est hilarant : diamants et carottes vivantes, squelette, représentant des « village people » etc. D’un point de vue sonore, les musiques sont sympas mais vite répétitives, on préférera jouer sans le son assez vite. Les cartes quant à elles sont plutôt sympas et sont en cohérence avec l’univers du jeu.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=GaS3fbNlbGU » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        ITTLE DEW CARD GAME

        Le déroulement du jeu est très simple : une fois notre personnage sélectionné, nous parcourrons la ville à la recherche de « boss » à défier pour récupérer leur carte légendaire. Un total de 8 est à retrouver, pour pouvoir défier le roi des cartes.

        Le jeu de carte en lui-même s’inspire de celui de FF9. Chaque joueur pose ses cartes sur un damier 3×3, une par tour. Chacune des cartes possède un symbole, le but étant d’accoler 3 symboles de manière à enclencher une action selon le type de carte : attaquer les PV adverses ou bien une de ses cartes,  regagner des PV et enfin soigner une de nos cartes blessées. La difficulté du jeu n’est pas très élevée et le deck building reste assez limité. De plus, certains combats sont assez dirigistes en nous obligeant à avoir un jeu super agressif ou super défensif, si on a un jeu mixte on ne passera pas. La bonne idée est que la défaite peut être engendrée par un plateau plein (même si les points de vie sont au max) ce qui nous oblige à réfléchir à la disposition de nos cartes.

        Après chaque bataille on gagne des cartes et de l’argent que l’on peut dépenser pour acheter des boosters, ou bien de la déco genre un plateau trop stylé ! (ok j’en fais un peu trop). Il est possible également de recycler des cartes que l’on aurait en plusieurs exemplaires par un booster tout neuf.

        BON RATION QUALITÉ PRIX

        Card City Nights est d’abord un jeu de batailles de cartes, dont les mécaniques simples permettent à tout le monde de s’y retrouver et de prendre du plaisir. Même si CCN n’est pas axé sur une difficulté importante et une nécessité de passer des heures à faire son deck, il se découvre tranquillement sans se prendre la tête.

         

        [Test réalisé à partir de laversion PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Jagex

        Genre : CCG

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 26/05/2016

        Français: oui

        Prix: gratuit avec eshop

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Développé par Jagex, Chronicle : Runescape Legends est un jeu de cartes à collectionner (Collectionable Card Game CCG) dans l’univers de Runescape, un MMO sorti en 2001 se jouant sur navigateur. Bien qu’ayant de très nombreuses similitudes avec la référence médiatique du moment Hearthstone, CRL se propose comme une alternative, une récré entre deux saisons, et ma foi il n’est pas totalement dépourvu d’intérêt.

         CARTE SUR PLATEAU

        Le jeu se présente sous la forme d’un plateau sur lequel votre pion (ici nommé légende) se déplacera, et dont les actions dépendront des cartes que vous aurez préalablement disposées sur le plateau. Le but étant de tuer la légende rivale qui dispose au départ, tout comme vous, de 30 points de vie et 2 points d’attaque. Une partie se compose de 5 chapitres au max. A la fin du 5ème, si les 2 légendes sont encore en vie, elles se mettront dessus quoiqu’il arrive afin de désigner le vainqueur. Car oui, il s’agit d’une confrontation presque indirecte avec votre rival. Ici pas de combats de créatures contre créatures, tout réside dans le fait de rendre sa légende forte tout en affaiblissant celle de l’ennemi afin d’être suffisamment préparé si l’on arrive à la fin du chapitre 5. Une façon de jouer bien différente d’Hearthstone, qui assure un côté stratégique et moins basé sur l’aléatoire. A chaque chapitre, votre pion apparaîtra sur un plateau différent mais sur lequel chacun disposera de 4 emplacements max pour y mettre une carte. Tour à tour, les pions se déplaceront automatiquement et en fonction de la carte que vous aurez posée, ils interagiront avec ou non.

        Plusieurs type de cartes sont à votre dispo : des cartes créatures et de soutien. Les créatures disposent de points d’attaque et de points de vies indiqués en haut de la carte, mais aussi de récompenses signifiées en bas de cartes. En fonction de la créature que vous affrontez vous pouvez gagner des points d’attaque, des points de vie, de l’or, une arme, des points d’armure, plus l’effet indiqué sur la carte parmi lesquels : infliger des dégâts au rival, casser la durabilité de son arme, piocher des cartes, affaiblir la prochaine créature rencontrée… D’autre part, les cartes de soutien vous permettent elles aussi, moyennant finance, de booster votre légende et d’activer des effets parfois bien costauds. De ce fait, le choix des cartes que vous allez placer et leur ordre sont très importants. Par ailleurs, vous n’êtes pas du tout obligé de mettre 4 cartes par chapitre, libre à vous d’en placer moins pour économiser pour le suivant, mais n’oubliez pas que votre rival pourrait alors prendre un avantage significatif. Bref, un aspect gestion des cartes, de l’or et du héros qui rendent le déroulement de la partie intéressante. Et tant mieux car il faut bien avouer que les confrontations de ce style manquent souvent de punch et d’intensité. Il y a 5 légendes jouables pour l’instant, avec chacune des synergies différentes selon leur cartes de classe.  On retrouve sans grand étonnement : le mage, le voleur et le guerrier, mais aussi de façon plus atypique : la vampire et le forgeron. Chacune des classes est assez différente des autres, mais il faut bien avouer que le guerrier Rapace et la forgeronne Linza sont quand même très solides. Néanmoins rien de frauduleux d’après mon expérience. Apres avoir gagné, vous récupérerez de l’or du jeu (75 unités), sachant qu’un pack de 5 cartes coûte 1000 pièces d’or, il va falloir se battre !

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=Ems8PLushVM » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

         RÉCHAUFFÉ

        Niveau graphisme, ce qui choque au départ, c’est que l’on a l’impression d’un copié/collé de Hearthstone… et oui ça l’est ! Tout d’abord l’univers coloré, puis l’interface et les menus, bref on a copié ce qui marche. Le plateau de jeu est quant à lui assez simpliste mais plutôt sympa et propose différents petits environnements. Les animations des pions sont par contre bien rigides et peu variées, de même que les phrases lors des duels. Bref, graphiquement c’est sympa, sans plus. Petit bémol au niveau du design des cartes qui sont quand même moins réussies globalement, mais c’est mon avis. Côté musique d’ambiance, là encore ça passe mais ce n’est pas vraiment mémorable, les effets sonores sont assez grossiers et les phrases toujours les mêmes. Mais bon rien qui n’empêche de se concentrer non plus. Néanmoins le thème principal lui est plutôt réussi et sachez aussi que le jeu est dispo en version française intégrale ce qui mérite d’être salué.

         

         UNE PARTIE ?

        Que peut-on faire dans ce jeu ? Et bien là encore, à peu près la même chose que chez Hearthstone. Vous trouverez donc les matchs en ligne, classés ou non, un mode solo qui consistera à battre chacune des 5 classes dans 3 modes de difficultés, une sorte de tutorial en somme, consulter ses stats, acheter des trucs de ouf à la boutique et comater devant sa collection. De même, l’assaut de donjon (se débloque niveau 15) est en fait l’équivalent de l’arène et vous permettra de drafter des cartes afin de construire le meilleur deck possible. Petite différence, vous n’aurez le choix qu’entre deux classes. Plus vous gagnerez, plus les récompenses seront importantes. A titre perso, j’ai toujours trouvé ces modes les plus intéressants, mais il faut payer pour y jouer, ici 1500 unités d’or, ce qui n’est pas donné. Alors oui, le fait qu’il y ait des récompenses justifie un prix, mais dommage que cela soit aussi élevé. L’accomplissement des défis quotidiens vous aidera à vous enrichir mais on ne gagne pas beaucoup à chaque fois. Voilà, je pense avoir fait le tour des modes de jeu, comme vous l’avez lu c’est du copié/collé encore une fois…

         A VOIR SUR LA LONGUEUR

        Chronicles : Runescape Legends est un bon jeu, qui malgré tout arrive à séduire. Même si au niveau de l’interface et des modes de jeu tout rappelle Hearthstone, son gameplay est vraiment différent et permet de proposer une bonne alternative. Cependant, le manque d’intensité des confrontations et le fait que le jeu soit autant calqué sur HS risque de lui être préjudiciable. Espérons tout de même que Jagex puisse continuer à développer ce jeu qui possède un vrai potentiel.

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : The Chinese Room

        Genre : Narratif, Aventure, Contemplatif

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 214/02/2012

        Français: non

        Prix à la sortie: 8 euros (PC)

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Dear Esther, petit jeu indépendant développé par TheChineseRoom, est un titre à part dans l’univers du jeu vidéo. En effet, il propose de divertir le joueur seulement par une approche narrative et visuelle. Jouer à Dear Esther, c’est un peu comme suivre une nouvelle interactive, on suit une histoire en mode spectateur et on appuie sur l’écran pour tourner les pages. Cependant est-ce que cette approche originale permet au joueur de s’immerger suffisamment dans l’univers sans pour autant le frustrer ?

        BALLADE NARRATIVE

        Etant donné que c’est la clé de voûte du titre, je ne vais donc pas rentrer dans les détails pour en parler. Simplement, sachez que l’histoire se déroule sur une petite île écossaise baignant dans l’Atlantique nord. Au fil du jeu, vous parcourrez chaque recoin de l’île. De temps à autre, un encadré de texte en anglais apparaîtra, vous en apprenant un peu plus sur le lieu où vous vous trouvez, les émotions du personnage ou ses souvenirs. A noter que le titre est entièrement en anglais et qu’un bon niveau est exigé si l’on veut tout comprendre… et encore, car la narration se veut subtile, dispersée et très métaphorique, il faudra donc  rester concentré tout au long de la promenade. L’histoire reste malgré tout intéressante et nous donne envie de savoir comment cela se termine. Et au pire si on comprend rien on pourra toujours mettre ses doigts sur le front tout en inspirant profondément…

         

        MARCHE OU CRÈVE

        Paragraphe le plus facile à écrire de cette critique, le gameplay : on fait avancer notre personnage. Et voilà ! (je suis claqué moi…). Il faut bien comprendre que c’est une histoire qui nous est racontée, la seule incidence que l’on est c’est celle de faire marcher le personnage pour qu’il arrive à un point où une bribe d’histoire vous sera narrée et ainsi de suite. Il n’y pas interaction possible, vous emprunterez le seul chemin qui existe, vous ne pouvez pas courir ni sauter et donc oui, c’est linéaire et frustrant. Néanmoins, le titre n’est pas dénué d’atouts..

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=EVjMaa1yNJU » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        MAGNIFIQUE

        Et les atouts les voilà: graphiquement le titre est très réussi. Les environnements de l’île sont très travaillés, certains sont vraiment magnifiques voire spectaculaires (grotte) et bien des fois on restera posé devant le panorama à admirer le travail réalisé. D’ailleurs, il est possible de déplacer la caméra sur un axe de 360 degrés pour mieux profiter des décors. L’ambiance sonore est, elle aussi, de très bonne qualité. L’intonation du narrateur, les effets sonores du vent et du ressac, les mélodies de fond au piano et au violon, et même les silences, participent à une immersion totale dans cet univers mystérieux et mélancolique.

        VIVEMENT DIMANCHE PROCHAIN

        Jeu très difficile à noter, Dear Esther est une expérience artistique et émotionnelle, graphiquement et visuellement il n’y a rien à dire, la promenade est très sympa. Mais le problème est aussi là, cette promenade est très dirigiste et ultra balisée ce qui frustre notre liberté d’exploration et donc de découverte. Pour profiter de ce jeu, il faut accepter le rythme proposé et d’être un simple observateur. Ce jeu soit on accroche et on lui mettra un 18 soit on ne finira même pas le jeu et on le dégommera…pour ma part je le conseillerai (d’occaz) tout de même, car même si le début de l’aventure est un peu déroutant du fait de l’approche voulue par les devs, j’ai vraiment apprécié la découverte de cette île et de son histoire.

        Pour la traduction du jeu suivez ce lien ^^ : http://traductionjeux.com/Dear-Esther-patch-fr.html

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Ludosity

        Genre : Réflexion, Aventure

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 23/07/2013

        Français: Sous titré FR

        Prix à la sortie: 6.99 euros (PC)

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Développé par Ludosity, Ittle Dew (ID) est un petit jeu d’aventure / réflexion dans un univers loufoque et coloré. Au premier abord, on pourrait croire que ce jeu emprunte tout d’un Zelda III, mais en réalité ID est beaucoup plus un jeu de résolution d’énigmes qu’un jeu d’aventure à proprement parler.

        ITTLE SCARABÉE

        Vous incarnerez Ittle Dew, une fillette en recherche d’aventure et au caractère bien trempé. Accompagnée de son acolyte Tippsie, vous échouerez sur une île mystérieuse et énigmatique. Pour pouvoir quitter cet endroit vous devrez récupérer un artefact caché dans un château au Nord de l’île. Une fois l’objet rare en main, vous pourrez l’échanger à un vieux marchand borgne contre un radeau et ainsi rentrer chez vous. Le scénario n’est pas vraiment le point fort du titre et n’est qu’un prétexte pour faire découvrir l’île et ses secrets. Les dialogues, quant à eux, sont faits d’humour, de parodie et même d’un peu de n’importe quoi. A noter que la traduction en français est de bonne qualité, ce qui permet de profiter des blagues sans problèmes.

         

        PETIT MAIS MIGNON

        Vous vous baladerez dans un monde en mode cartoon coloré et chaleureux. Les graphismes sont très sympas dans leur style et participent au côté bon enfant du titre. L’ambiance générale du titre est agréable tout comme le look des persos et monstres, même s’il est vrai qu’il n’y en a pas beaucoup. Pour la bande son elle n’est ni naze ni épique, elle fait le job tranquillou.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=wnbXKpPmJWM » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        C’EST UNE ÉNIGME !

        En fait, Ittle Dew est une suite de puzzles qu’il vous faudra résoudre pour pouvoir avancer et continuer d’explorer l’île. Au début de votre aventure, vous disposerez d’un simple bâton de bois sans effet spécial. En allant chez le marchand, vous verrez qu’il y a 3 armes à se procurer en échange de quelques deniers : une épée enflammée, un bâton de glace et un…hmm…sorte de bâton vert qui peut invoquer un bloc que vous pourrez téléporter ou bien échanger de place avec lui. Chaque arme a un prix et un effet spécifique. Vous pourrez débloquer ces armes dans l’ordre que vous voudrez. Je ne m’étendrai pas sur les effets de chacune des armes car le jeu vous proposera de les comprendre par l’intermédiaire d’énigmes qui deviendront de plus en plus difficiles au cours de l’aventure. Réflexe et réflexion seront vos meilleurs amis pour venir à bout des plus terribles énigmes !

        Le but du jeu étant d’explorer le château à la recherche de pognon, qui vous permettra d’acheter une arme, pour pouvoir continuer d’explorer le château plus en profondeur et de continuer à chercher d’autres coffres au trésor. Il vous faudra répéter le processus jusqu’à pouvoir ouvrir la salle du Boss final. Cependant, bien que le jeu puisse sembler linéaire en se contentant de suivre ce process, le level-design permet de finir le jeu grâce à la combinaison de seulement 2 armes au lieu de 3, ou bien de boucler l’aventure en 15 min au lieu de 3h. Ainsi, les amateurs de speed-run ou bien les férus d’énigmes seront contentés par cette idée bien pensée.

        Par ailleurs, il vous sera également possible de collectionner des cartes (26 en tout) représentant les persos et monstres du jeu, tout en les décrivant de manière comique, une sorte d’encyclopédie rigolote. Pour ce faire, vous devrez explorer chaque recoin de l’île et bien sûr résoudre des puzzles qui seront, cette fois, un peu plus tordus que ceux permettant de faire avancer l’histoire.

        DEW-TY FREE

        Ittle Dew est un jeu très sympa, sans prétention, et qui est arrivé à la fois à me faire rire et à me faire réfléchir. Le jeu peut se faire normalement en 2-3h si l’on veut juste suivre l’histoire, mais si on essaie de tout collectionner et de tout résoudre, alors on peut rajouter quelques heures sans problème. Globalement, j’ai trouvé ce jeu drôle, mignon, et très bien foutu au niveau du level-design, donc je ne peux que vous le conseiller ^^

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Square Enix

        Genre : Gacha, RPG

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 26/03/2015

        Français: oui

        Prix à la sortie: gratuit / eshop

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Square Enix, fameux studio de développement japonais nous propose cette fois une déclinaison de sa licence phare « FINAL FANTASY » sur IOS et Android.  Énième spin-off ? Remake HD ? Portage feignant ? Autant de préjugés que l’on pourrait avoir à la lecture de cette annonce. Et pourtant, ce FF  RECORD KEEPER (FFRK) est gratuit, fait pour les fans et non dénué d’intérêt, il serait donc bien dommage de passer à côté.

        BIBLIOTHÉCAIRE

        Sachez que tous les combats épiques ou faits marquants vécus dans le monde des Final Fantasy ont été classés, archivés sous formes de tableaux et protégés dans une grande bibliothèque. Le gardien des lieux, le Dr Mog, veille sur ces reliques inestimables. Malheureusement, un jour, une étrange force commence à détruire ces tableaux. Afin de stopper cela, Tyro, un apprenti gardien, doit revivre les histoires afin de repousser le mal et ainsi protéger les reliques.  Comme vous l’aurez compris, il n’existe pas de véritable scénario dans le jeu mais juste un contexte qui permet d’expliquer pourquoi nous allons revivre chacune des aventures de la saga (du I au XIII). Oui vous avez bien lu, vous allez pouvoir revivre toutes les histoires des FF en un seul jeu !

         

        TOUR PAR TOUR

        Le gameplay du jeu est simple et se compose en 2 parties : la préparation de son équipe et les combats au tour par tour. Vous pouvez former une équipe de 5 combattants en mélangeant les origines. Comprenez par là qu’une équipe regroupant Cloud, Cecil, Terra, Tidus et Sephiroth est tout à fait possible. Les combats se déroulent au tour par tour, plusieurs actions sont possibles : attaquer, se protéger, passer, magie et capacité spéciales, Bris d’âme (skill spécial du héros). Après chaque combat, nos p’tits bonhommes gagnent de l’expérience, des gils et éventuellement des récompenses (équipement, artéfact magique…). A noter que si vous combattez dans un tableau FF7, les perso FF7 auront un bonus de caractéristiques et d’exp. De même les pièces d’équipement FF7 seront boostées. Chaque morceau d’histoire fini entraînera l’ouverture d’une nouvelle aventure, et ce en mélangeant les épisodes de la saga.

        A côté des combats vous devrez gérer votre équipe : composition, placement, équipement, etc. Grace à ce bon vieux Cid, il vous sera possible d’améliorer vos pièces d’équipement. Quant aux magies et capacités, vous pourrez elles aussi les améliorer mais également en créer. Suite à ce passage quasi obligatoire, elles pourront être utilisées plus de fois lors des batailles et voir leur puissance augmenter, ce qui pourra être très utile lors de donjons un peu longs. Soyez néanmoins vigilants quant à vos choix car chaque personnage appartient à une classe, par conséquent, les équipements et le type de magie/capacité retenus conviendront mieux à certains perso qu’à d’autres.

        Par ailleurs, sachez que le jeu est tout à fait faisable sans débourser de fric. Bien qu’il y ait une jauge d’endurance qui se vide dès que l’on commence une quête, elle se remplit assez vite (1pt pour 3 min), et ce même quand on ne joue pas. De plus, après avoir fait des quêtes d’histoire, vous pouvez gagner des cristaux d’endurance ;  une fois  que vous en avez cumulé 5, votre jauge se remplira au max et augmentera son max d’1 point. Par ailleurs, lorsque vous progresserez dans le jeu, vous récupérerez du mithril, qui servira de monnaie d’échange dans le jeu. Il vous sera demandé pour remplir votre jauge d’endurance, soigner vos perso dans un donjon (cf. plus bas), recommencer un combat après une défaire et enfin tenter votre chance au tirage de reliques rares. Le mithril est suffisamment présent dans le jeu pour ne pas être obligé de sortir son portefeuille, malgré tout, si vous ne pouvez résistez à dépenser votre argent, vous pourrez le faire.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=jzZBi8YvOpc » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        EVENTS & MODES DE JEU

        Pour vous occuper, plusieurs missions vous sont proposées :

        Histoire principale : cela consiste à revire les aventures des épisodes de la saga. Vous pourrez débloquer de nouveaux perso, trouver du mithril, des cristaux d’endurance et devenir nostalgique.

        Event journalier : les récompenses changent  tous les jours (exp, matériaux, reliques, gils)  et on passera par-là selon nos besoins.

        Event à durée limitée : ils sont souvent représentés comme des enchaînements de combats de plus en plus difficiles. Plus vous franchirez de pallier, plus les récompenses seront sympas et vous pourrez même débloquer des perso, des pièces d’équipement et des matériaux rares.

        Tirage de reliques : 1 relique (pourrie) offerte chaque jour ! Cependant en échange de 5 mithrils vous pourrez tenter de tirer une relique rare pour vos perso.

        Deuxième difficulté : A noter que pour les quêtes principales et les donjons, vous pourrez en plus de la difficulté standard tenter le niveau élite ; les combats sont plus ardus mais vous donneront objets rares, gils et gloire !

         

        NOSTALGIIIIE

        Coté graphisme, le jeu est soigné et joue la carte du 8 bit. Chaque héro sera donc représenté sous une forme old school charmante et sympa. Les animations ou effets sont assez basiques mais fluides et efficaces. L’interface est bien pensée et claire, même si parfois on regrettera quelques ralentissements lorsque l’on se déplacera dans l’inventaire.

        Coté son, c’est du tout bon puisque toutes les musiques originales sont présentes. Celles des combats standards, de boss, les thèmes, etc. Et ceci, bien sûr, pour chacun des opus. La nostalgie opère forcément et rien qu’à l’écoute de certains morceaux on pourrait être tenté de replonger dans l’un des jeux.

        POUR LES FANS !

        Même si je n’ai pas toujours aimé les FF, surtout les opus récents, je dois dire que j’ai été agréablement surpris par ce jeu. Fait pour les fans avant tout, on se laissera vite submerger par la nostalgie des personnages qui nous ont fait aimer la licence. Faire sa dream team FF ça n’a pas de prix ! Le tout accompagné par les musiques qui nous ont fait vibrer…  Dur de résister à cet envoûtement nostalgique ! (je sais je suis faible, mais c’est trop bon !)

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : Shiro Games

        Genre : RPG

        Joueur: 1

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 04/04/2013

        Français: oui

        Prix à la sortie: 10 euros (PC)

        DLC: non[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Issu d’un trip durant une compétition de créer un jeu en 48h, EVOLAND est devenu un projet à part entière. Développé par 2 personnes, EVOLAND est à la fois une illustration de l’évolution des RPGs (Role Playing Game) à travers le temps, et également, un sacré clin d’œil à des titres qui ont eux-mêmes marqués l’histoire du jeux vidéo. Idée originale et concept séduisant, voilà ce que propose le studio de Shiro Games, mais manette en main, qu’en est-il vraiment ?

        EVOLUTION

        Le scénario d’EVOLAND n’est pas véritablement développé. En effet, il repompe de manière évidente et simpliste le stéréotype des histoires des RPGs old school. Vous trouverez d’ailleurs beaucoup de scènes empruntées à Final Fantasy 7, Zelda et Diablo mais aussi quelques allusions au Seigneurs des Anneaux et d’autres. Le jeu vous propose d’incarner Clink (si vous êtes bon vous trouverez d’où vient ce nom^^), jeune élu qui partira sauver le monde blablabla…

         

        ET POUR LE GAMEPLAY ?

        Au début du jeu, vous commencerez votre aventure dans un environnement noir et blanc, en 2D, avec pour seule distraction de déplacer votre perso de droite à gauche. Puis par l’intermédiaire de coffres que vous trouverez ici et là, le monde évoluera vous apportant meilleures qualités graphiques,  de couleurs, et musicales; ainsi que des interactions plus poussées (PNJs, combo à l’épée…) C’est bien simple les premières minutes de jeu nous plongent dans une découverte et une nostalgie grisantes, passionnantes…bref c’est le kiff man ! On passera donc la première partie du jeu à chercher et ouvrir ces coffres, jusqu’à ce que tout ce à quoi les développeurs ont pu penser soit ouvert.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=gxBjDGc4YCg » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Et après ? Eh bien, la suite du jeu est en fait un mix des gameplay proposés dans les jeux dont s’inspire EVOLAND : combats au tour par tour, en temps réel, passage à l’auberge d’un village, résolution d’énigmes via le switch entre la 2D et la 3D. On pourra tout de même regretter l’absence d’un véritable inventaire à gérer et qu’il n’y ait pas un peu plus d’armes et d’objets à acheter. Par ailleurs, le jeu propose deux petites quêtes annexes : la recherche des étoiles d’EVOLAND et le Double Twin, jeu de cartes inspiré du Tetra Master (Final Fantasy 9) et du Triple Triad (FF8). Ce dernier, composé d’une quinzaine de cartes que vous trouverez également en explorant le monde, est plus un clin d’œil qu’un véritable jeu.

         

        NOSTALGIE

        Pour finir, sachez que la bande son du titre est vraiment très sympa, et certains thèmes musicaux rappellent également quelques mélodies bien connues. Graphiquement, le titre est mignon et très coloré. Que ce soit en 2D ou en 3D, le charme nostalgique opère sans problème et l’on prendra un vrai plaisir à explorer ce monde.

        UN BEL HOMMAGE

        EVOLAND est un bon petit jeu, et qui sera probablement plus apprécié par ceux qui auront joué aux RPGs dont il s’inspire. On pourra regretter que l’aspect « évolution » ne dure pas plus longtemps, et qu’il s’agisse plus d’un hommage que d’un véritable jeu à proprement parler, mais le charme opère forcément. J’ai beaucoup apprécié EVOLAND et même si ce n’est pas un chef d’œuvre ça n’en reste pas moins un jeu très intéressant ne serait-ce que par son concept.

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        [vc_row el_class= »tata »][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Développé par : The Behemoth

        Genre : Beat’em All,

        Joueur: 4

        Accessibilité[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″ el_class= »infobox »][vc_column_text]Sortie le : 27/08/2008

        Français: oui

        Prix à la sortie: 12 euros (PC)

        DLC: oui[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][review][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Développé par le studio indépendant The Behemoth, Castle Crashers (CC) est un beat-them-all dans un univers médiéval agressif et déjanté. Vous aurez la possibilité de jouer jusqu’à 4 joueurs en coop locale afin de profiter de cette aventure entre potes. Bourré d’humour, totalement fun et défoulant, ce Castle Crashers mérite qu’on lui accorde quelques minutes.

        BASTOOON !!

        Comme d’habitude, pour ce genre de jeux le scénario peut se résumer sur la moitié d’un ticket de métro. Lors de festivités, des méchants viennent capturer les 4 princesses du royaume. Désemparé et fou de rage, le roi demande à l’un de ses plus preux chevaliers de partir à la poursuite de ces sauvages et de lui ramener ses précieuses. Voilà ce n’est pas original pour un sous, mais l’intérêt du titre n’est pas là.

         

        ET TU TAPES TAPES TAPES

        Le but du jeu ? Taper sur tout ce qui bouge ! Pour se faire vous devrez choisir un chevalier parmi les quatre proposés, chacun ayant un pouvoir attitré (feu, glace, éclair et poison).  Enchaîner les victimes et progresser dans le jeu, vous permettra d’augmenter les caractéristiques de votre champion (attaque, défense, agilité). Un petit côté RPG bienvenu qui vous permettra de diversifier votre panoplie de coups tout en devenant de plus en plus fort. Notez que pour monter votre perso au max il vous faudra finir le jeu plusieurs fois. Sur le champ de bataille, vous trouverez des armes qui boosteront certaines de vos caractéristiques et il faudra donc les choisir en fonction de votre manière de jouer.

        [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column el_class= »pouet »][vc_video link= »https://www.youtube.com/watch?v=hT2JB_FIgOc » el_class= »textonleft »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text el_class= »textonleft »]

        Pour le côté pratique, on ne compte que sur une touche de saut, une attaque de base, un coup puissant et une attaque magique (qui varie selon le type de chevalier sélectionné au début). En combinant tout ça, on passera son temps à marteler ces boutons pour éclater des hordes de méchants pas beaux. Pour vous aider dans votre quête, vous pourrez débloquer des familiers qui vous offriront différents avantages : plus d’EXP, vol de vie etc. Des objets divers comme des bombes, des potions de soin ou des sandwichs capables de vous transformer en une sorte de Hulk médiéval viendront également s’ajouter au contenu pour contribuer au chaos ambiant. Petite trouvaille sympa, après chaque boss tué vous devrez batailler contre vos alliés pour savoir qui de vous va embrasser la princesse. Fun et un poil tactique puisque l’on fera attention à sa vie lors des fins de niveaux pour commencer au mieux ce duel bestial et viril. Bref un gameplay simple, efficace et facile à prendre en main.

         

        CRASHER FLOTTER

        Côté graphisme, The Behemoth a choisi une 2D cartoon, colorée voire enfantine et pourtant le sang est présent ainsi que les têtes coupées. On pourrait très bien voir une allusion à Happy Tree Friends mais en moins gore tout de même. Les animations sont nombreuses, drôles et font parfois référence à des scènes cultes. Le design des monstres est à la fois réussi, et en même temps semble en total décalage avec l’univers du jeu. Parfois monstrueux ou bizarre mais toujours complètement barré.

        La bande son est de très bonne qualité. Prenantes, épiques et parfois mystiques, les mélodies accompagnent le joueur dans ce monde loufoque et participent pleinement à l’immersion.

        ILS SONT FOUS CES CHEVALIERS

        Castle Crashers est vraiment un bon jeu à faire à plusieurs. On se marre de bout en bout même si les derniers niveaux sont un peu difficiles à suivre (la drogue c’est mal). C’est un défouloir coloré, efficace et fun, bref à faire !!

         

        [Test réalisé à partir de la version PC][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

        Et si le réalisateur et scénariste principal de Suikoden 1 & 2, se disait « tiens je créerais bien un jeu dans la même veine, même si je n’ai pas la licence » ? Eh bien, grâce au financement participatif et au studio Rabbit & Bear Studios, cette idée est devenue réalité. Eiyuden Chronicle: Hundred Heroes a donc la lourde tâche de raviver notre flamme nostalgique, tout en proposant un contenu aussi mémorable que Suikoden, cela ne va pas être facile !

         

        pas très nowateur

        Sur le continent d’Allraan, Nowa, jeune garçon plein d’enthousiasme a décidé de faire carrière dans la garde, une sorte de guilde d’aventuriers à la recherche de missions rémunérées. Pour sa première mission, il est accompagné de Garr, Lian et Mio, des membres plus expérimentés. Leur objectif est d’escorter deux officiers impériaux, Seign et Hildi, et d’explorer un tumulus qui renfermerait une lentille runique, artefact puissant et méconnu, mais qui serait une source de pouvoir pour qui le possède. Si vous avez joué à Eiyuden Chronicle: Rising, vous êtes déjà familiers avec ces termes. Bien évidemment cette mission n’est que le début d’une aventure bien plus vaste, où trahisons, conflits géopolitiques et autres péripéties mèneront notre héros bien plus loin qu’escompté.

        Le début de l’aventure est très classique, mais à l’instar de nombreux RPG, rebondissements, et twists sont de la partie. La mise en scène est soignée, et l’histoire se suit agréablement. Néanmoins, ceux qui espéraient retrouver des thèmes matures avec des scènes marquantes rappelant Suikoden II risquent d’être assez déçus. Le jeu est lisse, comme ses personnages, les complots politiques sont présents, mais les actions de domination sont plus édulcorées. Je dirai même qu’un côté cul-cul la praline s’installe, tellement rien ne dépasse aucune limite. Ce n’est pas que l’on s’ennuie, mais plutôt que rien de marquant ne ressort de la cinquantaine d’heures de la quête principale, c’est assez dommage et je pense que le scénario du jeu n’est pas son point fort.

        Sur le continent d’Allraan, Nowa, jeune garçon plein d’enthousiasme a décidé de faire carrière dans la garde, une sorte de guilde d’aventuriers à la recherche de missions rémunérées. Pour sa première mission, il est accompagné de Garr, Lian et Mio, des membres plus expérimentés. Leur objectif est d’escorter deux officiers impériaux, Seign et Hildi, et d’explorer un tumulus qui renfermerait une lentille runique, artefact puissant et méconnu, mais qui serait une source de pouvoir pour qui le possède. Si vous avez joué à Eiyuden Chronicle: Rising, vous êtes déjà familiers avec ces termes. Bien évidemment cette mission n’est que le début d’une aventure bien plus vaste, où trahisons, conflits géopolitiques et autres péripéties mèneront notre héros bien plus loin qu’escompté.

        Le début de l’aventure est très classique, mais à l’instar de nombreux RPG, rebondissements, et twists sont de la partie. La mise en scène est soignée, et l’histoire se suit agréablement. Néanmoins, ceux qui espéraient retrouver des thèmes matures avec des scènes marquantes rappelant Suikoden II risquent d’être assez déçus. Le jeu est lisse, comme ses personnages, les complots politiques sont présents, mais les actions de domination sont plus édulcorées. Je dirai même qu’un côté cul-cul la praline s’installe, tellement rien ne dépasse aucune limite. Ce n’est pas que l’on s’ennuie, mais plutôt que rien de marquant ne ressort de la cinquantaine d’heures de la quête principale, c’est assez dommage et je pense que le scénario du jeu n’est pas son point fort.

        120 Avenue du château

        EC: HH reprend beaucoup d’éléments de Suikoden. Il s’agit bien évidemment d’un RPG au tour par tour, où l’on peut constituer et diriger une équipe de 6 personnages parmi un total de 120 héros recrutables, bien que tous n’aient pas vocation à aller au combat… j’en reparlerai plus loin. Votre formation se compose de personnages placés à l’avant, au milieu et à l’arrière, ainsi que d’un personnage de soutien octroyant des bonus pour les combats ou l’exploration. À noter que certains compagnons prennent plus de place que d’autres.

        Les combats sont aléatoires, et se déroulent de manière assez classique : chaque héros possède une barre de HP, de mana, et de SP pour les coups spéciaux. Pour chacun des héros, on sélectionne l’action souhaitée, puis tout se lance. Les ennemis font pareil. Le mana se récupère via des objets et auberges, tandis que le SP se recharge à chaque tour non utilisé. Cette mécanique introduit une petite stratégie, mais dans l’ensemble, les affrontements manquent de difficulté et deviennent rapidement redondants. Seuls les quelques moments où certains boss décident d’user de gadgets ou mécaniques spéciales viennent nous demander un peu plus d’attention et rompre la monotonie. Il est bon de savoir que l’on peut paramétrer le jeu pour que les combats deviennent automatiques, mais comme c’est un peu fastidieux, cette fonction sera donc surtout utile lors de la traversée de zones que l’on poutre facilement, histoire de gagner quelques minutes.

        Pour varier un peu le gameplay, certains boss spéciaux seront à battre sous forme de duels « pierre feuille ciseaux » narratifs, avec une grosse mise en scène : sympas si on comprend le système, plus random si on ne comprend pas. Autre variante présente dans l’histoire principale : des batailles tactiques sur mini damier où le but sera de parvenir à encercler les bataillons ennemis. Pas bien compliquées et sympas les premiers temps, ces phases deviennent vite longues et cassent un peu l’intensité scénaristique. Fort heureusement, elles ne sont pas trop nombreuses.

         

        Comme dit plus haut, l’attrait du titre vient du recrutement des 120 persos qui peuvent rejoindre votre cause. Visuellement, le character design de chacun est plutôt réussi : aucun perso ne ressemble à un autre, ce qui est un bon point. En revanche, au niveau background c’est limité au point d’en devenir frustrant car j’aurais bien voulu en savoir un peu plus. Pour les recruter, rien de plus facile : soit il suffit de leur parler et hop c’est dans la poche, soit il faut réussir une petite quête fedex pour qu’ils soient contents. Finalement, le recrutement est assez basique, voire trop, pas de système d’affinité ou quoi que ce soit d’un peu profond. La seule interaction qui mériterait peut-être d’être relevée, c’est la possible origine commune entre certains persos qui, si on les dispose les uns près des autres lors des combats, leur permet d’effectuer des capacités spéciales synergiques. Cool me direz-vous ? Pas forcément, vu que les dégâts de ces attaques sont à peine plus élevés que ceux des coups spéciaux de chacun en cumulé. 

        Pour en trouver certains ce sera facile, il vous suffira de suivre la trame scénaristique et ils seront tout simplement sur votre passage, pour d’autres, il vous faudra revenir dans des zones déjà visitées et les refaire. C’est un peu fastidieux car on n’a pas toujours d’indices, on pourrait relativiser en se disant que c’est un peu le but s’il s’agissait d’un combattant assez fort, mais dès lors qu’il s’agit d’un perso nécessaire à l’évolution de notre château, cela peut devenir plus frustrant.

        Ce sera particulièrement le cas dès lors que vous débloquerez l’incroyable feature qui permet de posséder un bastion : gros temps fort du jeu. À force de recrutements, votre bastion deviendra un fort, voire une petite ville. En effet, certains personnages à recruter viendront peupler votre château, tout en contribuant à son développement. Marchand, herboriste, pécheur, forgeron… tout ce dont vous aurez besoin arrivera au fur et à mesure. Honnêtement, c’est le côté le plus grisant du jeu de voir sa petite région évoluer et s’agrandir pour devenir un vrai lieu utile et agréable. Pour vous permettre d’évoluer et de grandir, le château est capé en niveaux qu’il vous faudra franchir afin d’accéder à de nouvelles commodités. Pour ce faire, il faudra construire suffisamment de choses dans le palier précédent. Or, à chaque construction est associé un PNJ, donc si vous ne le trouvez pas vous êtes bloqués… Vous comprenez maintenant pourquoi refaire les donjons déjà visités dans l’espoir d’y trouver un PNJ peut être est un peu frustrant, car si on en loupe un, cela peut nous empêcher de créer un embranchement important pour l’évolution de notre château. D’autant que certains PNJ sont spécialisés en ressources (bois, pierre, cueillette) essentielles à votre développement, et que sans eux, il faudra les farmer vous-même dans les donjons, ce qui sera bien plus long.

        Les donjons, quant à eux, sont aussi très classiques. Le level design est simpliste, avec tout au plus 2-3 zones légèrement plus tortueuses, m’enfin on n’est jamais perdus. Leur résolution est assez linéaire et, même s’ils sont agréables à regarder, on n’est pas sur du jamais vu.

        Enfin, un bon nombre d’activités annexes sont disponibles comme la possibilité de jouer aux cartes et de les collectionner, de faire des duels de toupies de type Beyblade, de participer à des courses de Shi’vaisseaux, un théâtre, des combats culinaires…. Bref les activités annexes ne manquent pas. Malheureusement, seule la collection de cartes tire son épingle du jeu, le reste étant peu intéressant ou pas vraiment fun. Il y a même un donjon post game à débloquer, où l’on peut taper des monstres, qui pour le coup sont bien retords, aussi il faudra avoir bien amélioré notre stuff pour avancer.

         

        kong music
        I NEED HUNDRED HEROES

        Pour accompagner Nowa dans cette aventure, les devs ont opté pour des graphismes HD-2D, sprites en 2D dans des environnements 3D. Globalement, le tout est assez agréable même si l’on a déjà vu plus joli. On est loin d’un Octopath Traveler ou du remake de DQ III, mais bon j’imagine que le budget n’est pas le même non plus. Ce qui choque le plus ce sont surtout les animations qui font très old school. Même quand le héros court, on se dit que quelques sprites supplémentaires pour faire moins glissade n’auraient pas été de trop. Par ailleurs, autant les donjons et villes sont jolis et bien habillés, autant la map sur laquelle on se déplace fait très cheap, avec des textures qui font très grossières et simplistes. Dommage. Autre critique, le monde dans sa globalité ne paraît pas vraiment vivant, et bien que les villes atténuent un peu ce sentiment, elles ne fourmillent pas de vie, ni de détails animés. Malgré tout, les différents lieux visités sont plutôt variés et sympas, assez classique mais ça passe. J’ai même trouvé le look de certains personnages sympa, un bon moyen de choisir qui a le droit de se battre à mes côtés.

        Pour le son, je dirai que l’OST est plutôt efficace. Bien qu’aucun thème ne me soit resté en mémoire une fois le jeu fini, les compositions sont agréables lorsqu’on fait le jeu. Petit bémol : des situations de jeu qui se répètent engendrent une petite redondance sonore, mais c’est supportable. Le jeu est doublé en anglais et japonais, mais attention, tous les dialogues ne le sont pas. Pour ceux qui choisiront de faire le jeu en japonais comme moi, préparez-vous car Nowa répond souvent par un mot ou une sorte d’onomatopée qui suggère qu’il ne comprend rien, cela colle plutôt bien avec le personnage mais c’est particulièrement agaçant…Sinon coté audio, c’est du bon boulot.

         

        de bonnes fondations

        Alors qu’ai-je pensé de ce Eiyuden Chronicle: hundred heroes ? Hyper enthousiaste à l’idée de voir un descendant de Suikoden, j’ai d’abord été conquis par un début charmant et prometteur, même si le jeu n’en met pas plein la rétine. Néanmoins, plus j’avançais dans le jeu et plus je traversais l’histoire sans réelle passion ni émotion. Des personnages peu profonds, un Nowa trop lisse et qui ne réalise jamais vraiment ce qu’il fait, un scénario trop classique et convenu… Bref un jeu sympa mais qui manque cruellement de caractère. Certes, la collection de compagnons et l’évolution du château sont réussies, mais les combats diablement répétitifs et le manque de profondeur du scénario m’ont laissé sur ma faim. Tout cela m’a empêché de m’attacher vraiment aux persos et au jeu dans sa globalité. J’ai tout de même apprécié certaines rencontres, lieux ou mini jeux et les bases sont peut-être là, mais malheureusement cela ne suffit pas pour que cet opus s’impose comme un véritable héritier de Suikoden, il faut plus de personnalité.

         

        Rédacteur en chef CritiKong - Fan de gorilles et de JV qui attend désespérément Shadow Hearts 4...

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